Point de départ :
Avant tout, je n'ai pas inventé ce jeu. Il existe déjà et je l'ai donc découvert au sein de ma famille. L'idée était ensuite de réécrire le texte de façon à ce qu'il soit possible d'y jouer selon le nombre d'enfants présents.
But et déroulement de l'activité :
Des chaises sont installées dans la salle (comme ci-dessus) et forment le Carrosse. Chaque enfant va interpréter un "personnage", que ce soit le roi, la princesse ou encore les cheveux où les roues. On lit ensuite un texte et chaque fois que l'enfant entend le nom de son personnage, il doit se lever, faire une fois de tour de sa chaise et se rasseoir. Quand le mot "Carrosse" est prononcé, tous les enfants doivent se lever et tourner.
Ce jeu a l'avantage d'enthousiasmer toutes les classes, quels que soient les âges de participants.
Astuce : Le cocher sera celui qui se lèvera le plus de fois, comme vous allez pouvoir le constater en lisant le texte. Le rôle est donc à attribuer à un enfant particulièrement dynamique.
Classes :
MS ; GS ; CP ; CE1 ; CE2 ; CM1 ; CM2
Textes :
Pour 10
C'est
l'histoire d'un carrosse
royal a 4
roues,
tiré par 2
chevaux,
qui était en voyage avec la Reine,
le Roi,
la Princesse
et
un cocher.
Il
fait nuit, le carrosse
roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher
guide les chevaux.
Les roues
du carrosse
sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue
avant gauche
qui grince un peu.
Tout
a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le
cocher
tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le
Roi
demande : « Cocher,
cocher, cocher,
que se passe t-il ? ».
Des
hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches
et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi,
s'écrie le cocher,
ils attaquent le carrosse,
la Reine
et
la
Princesse
ne sont plus en sécurité ! ».
Alors
sans attendre l'avis du Roi,
le cocher
se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux.
D'abord le cheval
de gauche
puis le cheval
de droite.
Les chevaux
se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le
carrosse
prend de la vitesse et le cocher
essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi
crie : « Cocher,
cocher, cocher!».
Mais le cocher
dans le vacarme du carrosse
ne l'entend pas.
« Cocher,
cocher, cocher »,
hurle la Princesse,
mais le bruit des roues
cachent sa petite voix.
Alors
la Reine
appelle : « Cocher,
cocher, cocher!».
Sa
voix si aiguë porte loin et le cocher
répond : « Oui ma Reine
! ».
«
Roule plus lentement, cocher,
sinon
le
carrosse
va se renverser, et tu vas briser les roues
gauches
et les roues
droites
! ».
Les
chevaux,
qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher
sont presque a bout de force.
La
Reine
qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi
: « Espérons que ce carrosse
va supporter tout ça ! ». Le Roi
lui répond : « la roue
avant gauche
me donne du souci plus que toutes les autres roues
! ».
La
Princesse,
elle, semble s'amuser follement.
Le
cocher,
tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et
s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les
chevaux
du carrosse
sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout
d'abord, le
cheval
de droite
puis le cheval
de gauche.
Le
Roi
demande au cocher
: «
Cocher,
cocher, cocher,
pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
La
Princesse
se pose la même question, elle aurait aimé continuer.
Le
cocher
répond : « Mon Roi,
nous avons survécu, le carrosse
et toutes les roues
ont bien supporté la course, même la roue
avant gauche.
Les chevaux,
aussi bien le cheval
de droite
que le cheval
de gauche
méritent bien un peu de repos après cet effort ! ».
La
Reine
se réjouit et dit au Roi
: « Le cocher
a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher
Supérieur ! ».
Le
cocher
a entendu ce que la Reine
a dit au Roi
et il est très heureux et très fier.
Finalement,
tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine
remercie le cocher,
le Roi
le remercie aussi. La Princesse
lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer.
Même
les chevaux
sont heureux que le cocher
ne les fouette plus.
Et
comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront
toujours ensemble, le Roi,
la Reine,
la Princesse,
le carrosse,
les roues
et les chevaux
et bien sûr le cocher.
Le
cocher
a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du
conduire le carrosse,
ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher,
mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des
applaudissements .
Pour 11
C'est
l'histoire d'un carrosse
royal a 4
roues,
tiré par 2
chevaux,
qui était en voyage avec la Reine,
le Roi,
la Princesse,
le Prince,
et
un cocher.
Il
fait nuit, le carrosse
roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher
guide les chevaux.
Les roues
du carrosse
sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue
avant gauche
qui grince un peu.
Tout
a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le
cocher
tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le
Roi
demande : « Cocher,
cocher, cocher,
que se passe t-il ? ».
Des
hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches
et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi,
s'écrie le cocher,
ils attaquent le carrosse,
la Reine,
la Princesse
et le Prince
ne sont plus en sécurité ! ».
Alors
sans attendre l'avis du Roi,
le cocher
se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux.
D'abord le cheval
de gauche
puis le cheval
de droite.
Les chevaux
se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le
carrosse
prend de la vitesse et le cocher
essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi
crie : « Cocher,
cocher, cocher!».
Mais le cocher
dans le vacarme du carrosse
ne l'entend pas.
« Cocher,
cocher, cocher »,
hurlent ensemble de Prince
et la Princesse,
mais le bruit des roues
cachent leurs voix d'enfants.
Alors
la Reine
appelle : « Cocher,
cocher, cocher!».
Sa
voix si aiguë porte loin et le cocher
répond : « Oui ma Reine
! ».
«
Roule plus lentement, cocher,
sinon
le
carrosse
va se renverser, et tu vas briser les roues
gauches
et les roues
droites
! ».
Les
chevaux,
qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher
sont presque a bout de force.
La
Reine
qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi
: « Espérons que ce carrosse
va supporter tout ça ! ». Le Roi
lui répond : « la roue
avant gauche
me donne du souci plus que toutes les autres roues
! ».
Le
Prince
et la Princesse,
eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le
cocher,
tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et
s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les
chevaux
du carrosse
sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout
d'abord, le
cheval
de droite
puis le cheval
de gauche.
Le
Roi
demande au cocher
: «
Cocher,
cocher, cocher,
pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le
Prince
et la Princesse
se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la
Princesse.
Le
cocher
répond : « Mon Roi,
nous avons survécu, le carrosse
et toutes les roues
ont bien supporté la course, même la roue
avant gauche.
Les chevaux,
aussi bien le cheval
de droite
que le cheval
de gauche
méritent bien un peu de repos après cet effort ! ».
La
Reine
se réjouit et dit au Roi
: « Le cocher
a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher
Supérieur ! ».
Le
cocher
a entendu ce que la Reine
a dit au Roi
et il est très heureux et très fier.
Finalement,
tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine
remercie le cocher,
le Roi
le remercie aussi. La Princesse
et le Prince
lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer.
Même
les chevaux
sont heureux que le cocher
ne les fouette plus.
Et
comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront
toujours ensemble, le Roi,
la Reine,
le Prince,
la Princesse,
le carrosse,
les roues
et les chevaux
et bien sûr le cocher.
Le
cocher
a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du
conduire le carrosse,
ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher,
mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des
applaudissements .
Pour 12
C'est
l'histoire d'un carrosse
royal a 4 roues,
tiré par 2
chevaux,
qui était en voyage avec la Reine,
le Roi,
la Princesse,
le Prince,
un valet de pied
et
un cocher.
Il
fait nuit, le carrosse
roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher
guide les chevaux. Sur
la plate forme arrière, le
valet de pied
patiente. Les roues
du carrosse
sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue
avant gauche
qui grince un peu.
Tout
a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le
cocher
tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le valet de pied
manque même de tomber. Le Roi
demande : « Cocher,
cocher, cocher,
que se passe t-il ? ».
Des
hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches
et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi,
s'écrie le cocher,
ils attaquent le carrosse,
la Reine,
la Princesse
et le Prince
ne sont plus en sécurité ! ».
Alors
sans attendre l'avis du Roi,
le cocher
se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux.
D'abord le cheval
de gauche
puis le cheval de
droite.
Les chevaux
se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le
carrosse
prend de la vitesse et le cocher
essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi
crie : « Cocher,
cocher, cocher!».
Mais le cocher
dans le vacarme du carrosse
ne l'entend pas.
« Cocher,
cocher, cocher »,
hurlent ensemble le Prince
et la Princesse,
mais le bruit des roues
cachent leurs voix d'enfants.
Alors
la Reine
appelle : « Cocher,
cocher, cocher!».
Sa
voix si aiguë porte loin et le cocher
répond : « Oui ma Reine
! ».
«
Roule plus lentement, cocher,
sinon le valet de
pied va
tomber, le
carrosse
va se renverser, et tu vas briser les roues
gauches
et les roues
droites
! ».
Les
chevaux,
qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher
sont presque a bout de force. Le valet
de pied
ne reste plus accroché que par l'index.
La
Reine
qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi
: « Espérons que ce carrosse
va supporter tout ça ! ». Le Roi
lui répond : « la roue
avant gauche
me donne du souci plus que toutes les autres roues
! ».
Le
Prince
et la Princesse,
eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le
cocher,
tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et
s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les
chevaux
du carrosse
sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout
d'abord, le cheval
de droite
puis le cheval de
gauche.
Le valet de pied
réussit enfin à se redresser.
Le
Roi
demande au cocher
: «
Cocher, cocher,
cocher,
pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le
Prince
et la Princesse
se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la
Princesse.
Le
cocher
répond : « Mon Roi,
nous avons survécu, le carrosse
et toutes les roues
ont bien supporté la course, même la roue
avant gauche.
Les chevaux,
aussi bien le cheval
de droite
que le cheval de
gauche
méritent bien un peu de repos après cet effort ! Et notre pauvre
valet de pied
n'aurait plus tenu longtemps ».
La
Reine
se réjouit et dit au Roi
: « Le cocher
a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher
Supérieur ! ».
Le
cocher
a entendu ce que la Reine
a dit au Roi
et il est très heureux et très fier.
Finalement,
tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine
remercie le cocher,
le Roi
le remercie aussi. La Princesse
et le Prince
lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer. Le valet
de pied,
lui, est simplement soulagé que les roues
n'aient pas lâché.
Même
les chevaux
sont heureux que le cocher
ne les fouette plus.
Et
comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront
toujours ensemble, le Roi,
la Reine,
le Prince,
la Princesse,
le Valet de pied,
le carrosse,
les roues
et les chevaux
et bien sûr le cocher.
Le
cocher
a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du
conduire le carrosse,
ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher,
mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des
applaudissements .
Pour 13
C'est
l'histoire d'un carrosse
royal a 4
roues,
tiré par 3
chevaux,
qui était en voyage avec la Reine,
le Roi,
la Princesse,
le Prince,
un valet
de pied
et
un cocher.
Il
fait nuit, le carrosse
roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher
guide les chevaux. Sur
la plate forme arrière, le
valet de pied
patiente. Les roues
du carrosse
sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue
avant gauche
qui grince un peu.
Tout
a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le
cocher
tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le valet
de pied
manque même de tomber. Le Roi
demande : « Cocher,
cocher, cocher,
que se passe t-il ? ».
Des
hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches
et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi,
s'écrie le cocher,
ils attaquent le carrosse,
la Reine,
la Princesse
et le Prince
ne sont plus en sécurité ! ».
Alors
sans attendre l'avis du Roi,
le cocher
se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux.
D'abord le cheval
de gauche, puis
le cheval
du milieu
et
enfin
le cheval
de droite.
Les chevaux
se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le
carrosse
prend de la vitesse et le cocher
essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi
crie : « Cocher,
cocher, cocher!».
Mais le cocher
dans le vacarme du carrosse
ne l'entend pas.
« Cocher,
cocher, cocher »,
hurlent ensemble de Prince
et la Princesse,
mais le bruit des roues
cachent leurs voix d'enfants.
Alors
la Reine
appelle : « Cocher,
cocher, cocher!».
Sa
voix si aiguë porte loin et le cocher
répond : « Oui ma Reine
! ».
«
Roule plus lentement, cocher,
sinon le valet
de pied va
tomber,
le
carrosse
va se renverser, et tu vas briser les roues
gauches
et les roues
droites
! ».
Les
chevaux,
qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher
sont presque a bout de force. Le valet
de pied
ne reste plus accroché que par l'index.
La
Reine
qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi
: « Espérons que ce carrosse
va supporter tout ça ! ». Le Roi
lui répond : « la roue
avant gauche
me donne du souci plus que toutes les autres roues
! ».
Le
Prince
et la Princesse,
eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le
cocher,
tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et
s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les
chevaux
du carrosse
sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout
d'abord, le
cheval
de droite
puis le
cheval du milieu
et enfin le cheval
de gauche.
Le valet
de pied
réussit enfin à se redresser.
Le
Roi
demande au cocher
: «
Cocher,
cocher, cocher,
pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le
Prince
et la Princesse
se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la
Princesse.
Le
cocher
répond : « Mon Roi,
nous avons survécu, le carrosse
et toutes les roues
ont bien supporté la course, même la roue
avant gauche.
Les chevaux,
aussi bien le cheval
de droite
que le cheval
du milieu,
que, bien sûr, cheval
de gauche
méritent bien un peu de repos après cet effort ! Et notre pauvre
valet
de pied
n'aurait plus tenu longtemps ».
La
Reine
se réjouit et dit au Roi
: « Le cocher
a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher
Supérieur ! ».
Le
cocher
a entendu ce que la Reine
a dit au Roi
et il est très heureux et très fier.
Finalement,
tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine
remercie le cocher,
le Roi
le remercie aussi. La Princesse
et le Prince
lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer. Le valet
de pied,
lui, est simplement soulagé que les roues
n'aient pas lâché.
Même
les chevaux
sont heureux que le cocher
ne les fouette plus.
Et
comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront
toujours ensemble, le Roi,
la Reine,
le Prince,
la Princesse,
le Valet
de pied,
le carrosse,
les roues
et les chevaux
et bien sûr le cocher.
Le
cocher
a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du
conduire le carrosse,
ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher,
mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des
applaudissements .