samedi 14 juin 2014

Le Carrosse

Point de départ :
Avant tout, je n'ai pas inventé ce jeu. Il existe déjà et je l'ai donc découvert au sein de ma famille. L'idée était ensuite de réécrire le texte de façon à ce qu'il soit possible d'y jouer selon le nombre d'enfants présents.

But et déroulement de l'activité :


Des chaises sont installées dans la salle (comme ci-dessus) et forment le Carrosse. Chaque enfant va interpréter un "personnage", que ce soit le roi, la princesse ou encore les cheveux où les roues. On lit ensuite un texte et chaque fois que l'enfant entend le nom de son personnage, il doit se lever, faire une fois de tour de sa chaise et se rasseoir. Quand le mot "Carrosse" est prononcé, tous les enfants doivent se lever et tourner.
Ce jeu a l'avantage d'enthousiasmer toutes les classes, quels que soient les âges de participants.
Astuce : Le cocher sera celui qui se lèvera le plus de fois, comme vous allez pouvoir le constater en lisant le texte. Le rôle est donc à attribuer à un enfant particulièrement dynamique.

Classes :
MS ; GS ; CP ; CE1 ; CE2 ; CM1 ; CM2

Textes :
Pour 10
C'est l'histoire d'un carrosse royal a 4 roues, tiré par 2 chevaux, qui était en voyage avec la Reine, le Roi, la Princesse et un cocher.
Il fait nuit, le carrosse roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher guide les chevaux. Les roues du carrosse sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue avant gauche qui grince un peu.
Tout a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le cocher tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le Roi demande : « Cocher, cocher, cocher, que se passe t-il ? ».
Des hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi, s'écrie le cocher, ils attaquent le carrosse, la Reine et la Princesse ne sont plus en sécurité ! ».
Alors sans attendre l'avis du Roi, le cocher se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux. D'abord le cheval de gauche puis le cheval de droite. Les chevaux se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le carrosse prend de la vitesse et le cocher essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi crie : « Cocher, cocher, cocher!». Mais le cocher dans le vacarme du carrosse ne l'entend pas.
« Cocher, cocher, cocher », hurle la Princesse, mais le bruit des roues cachent sa petite voix.
Alors la Reine appelle : « Cocher, cocher, cocher!».
Sa voix si aiguë porte loin et le cocher répond : « Oui ma Reine ! ».
« Roule plus lentement, cocher, sinon le carrosse va se renverser, et tu vas briser les roues gauches et les roues droites ! ».
Les chevaux, qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher sont presque a bout de force.
La Reine qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi : « Espérons que ce carrosse va supporter tout ça ! ». Le Roi lui répond : « la roue avant gauche me donne du souci plus que toutes les autres roues ! ».
La Princesse, elle, semble s'amuser follement.
Le cocher, tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les chevaux du carrosse sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout d'abord, le cheval de droite puis le cheval de gauche.
Le Roi demande au cocher : « Cocher, cocher, cocher, pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
La Princesse se pose la même question, elle aurait aimé continuer.
Le cocher répond : « Mon Roi, nous avons survécu, le carrosse et toutes les roues ont bien supporté la course, même la roue avant gauche. Les chevaux, aussi bien le cheval de droite que le cheval de gauche méritent bien un peu de repos après cet effort ! ».
La Reine se réjouit et dit au Roi : « Le cocher a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher Supérieur ! ».
Le cocher a entendu ce que la Reine a dit au Roi et il est très heureux et très fier.
Finalement, tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine remercie le cocher, le Roi le remercie aussi. La Princesse lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer.
Même les chevaux sont heureux que le cocher ne les fouette plus.

Et comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront toujours ensemble, le Roi, la Reine, la Princesse, le carrosse, les roues et les chevaux et bien sûr le cocher.

Le cocher a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du conduire le carrosse, ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher, mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des applaudissements .

Pour 11
C'est l'histoire d'un carrosse royal a 4 roues, tiré par 2 chevaux, qui était en voyage avec la Reine, le Roi, la Princesse, le Prince, et un cocher.
Il fait nuit, le carrosse roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher guide les chevaux. Les roues du carrosse sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue avant gauche qui grince un peu.
Tout a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le cocher tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux.
Le Roi demande : « Cocher, cocher, cocher, que se passe t-il ? ».
Des hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi, s'écrie le cocher, ils attaquent le carrosse, la Reine, la Princesse et le Prince ne sont plus en sécurité ! ».
Alors sans attendre l'avis du Roi, le cocher se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux. D'abord le cheval de gauche puis le cheval de droite. Les chevaux se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le carrosse prend de la vitesse et le cocher essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi crie : « Cocher, cocher, cocher!». Mais le cocher dans le vacarme du carrosse ne l'entend pas.
« Cocher, cocher, cocher », hurlent ensemble de Prince et la Princesse, mais le bruit des roues cachent leurs voix d'enfants.
Alors la Reine appelle : « Cocher, cocher, cocher!».
Sa voix si aiguë porte loin et le cocher répond : « Oui ma Reine ! ».
« Roule plus lentement, cocher, sinon le carrosse va se renverser, et tu vas briser les roues gauches et les roues droites ! ».
Les chevaux, qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher sont presque a bout de force.
La Reine qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi : « Espérons que ce carrosse va supporter tout ça ! ». Le Roi lui répond : « la roue avant gauche me donne du souci plus que toutes les autres roues ! ».
Le Prince et la Princesse, eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le cocher, tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les chevaux du carrosse sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout d'abord, le cheval de droite puis le cheval de gauche.
Le Roi demande au cocher : « Cocher, cocher, cocher, pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le Prince et la Princesse se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la Princesse.
Le cocher répond : « Mon Roi, nous avons survécu, le carrosse et toutes les roues ont bien supporté la course, même la roue avant gauche. Les chevaux, aussi bien le cheval de droite que le cheval de gauche méritent bien un peu de repos après cet effort ! ».
La Reine se réjouit et dit au Roi : « Le cocher a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher Supérieur ! ».
Le cocher a entendu ce que la Reine a dit au Roi et il est très heureux et très fier.
Finalement, tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine remercie le cocher, le Roi le remercie aussi. La Princesse et le Prince lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer.
Même les chevaux sont heureux que le cocher ne les fouette plus.

Et comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront toujours ensemble, le Roi, la Reine, le Prince, la Princesse, le carrosse, les roues et les chevaux et bien sûr le cocher.

Le cocher a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du conduire le carrosse, ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher, mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des applaudissements .

Pour 12
C'est l'histoire d'un carrosse royal a 4 roues, tiré par 2 chevaux, qui était en voyage avec la Reine, le Roi, la Princesse, le Prince, un valet de pied et un cocher.
Il fait nuit, le carrosse roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher guide les chevaux. Sur la plate forme arrière, le valet de pied patiente. Les roues du carrosse sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue avant gauche qui grince un peu.
Tout a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le cocher tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux. Le valet de pied manque même de tomber. Le Roi demande : « Cocher, cocher, cocher, que se passe t-il ? ».
Des hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi, s'écrie le cocher, ils attaquent le carrosse, la Reine, la Princesse et le Prince ne sont plus en sécurité ! ».
Alors sans attendre l'avis du Roi, le cocher se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux. D'abord le cheval de gauche puis le cheval de droite. Les chevaux se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le carrosse prend de la vitesse et le cocher essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi crie : « Cocher, cocher, cocher!». Mais le cocher dans le vacarme du carrosse ne l'entend pas.
« Cocher, cocher, cocher », hurlent ensemble le Prince et la Princesse, mais le bruit des roues cachent leurs voix d'enfants.
Alors la Reine appelle : « Cocher, cocher, cocher!».
Sa voix si aiguë porte loin et le cocher répond : « Oui ma Reine ! ».
« Roule plus lentement, cocher, sinon le valet de pied va tomber, le carrosse va se renverser, et tu vas briser les roues gauches et les roues droites ! ».
Les chevaux, qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher sont presque a bout de force. Le valet de pied ne reste plus accroché que par l'index.
La Reine qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi : « Espérons que ce carrosse va supporter tout ça ! ». Le Roi lui répond : « la roue avant gauche me donne du souci plus que toutes les autres roues ! ».
Le Prince et la Princesse, eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le cocher, tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les chevaux du carrosse sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout d'abord, le cheval de droite puis le cheval de gauche. Le valet de pied réussit enfin à se redresser.
Le Roi demande au cocher : « Cocher, cocher, cocher, pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le Prince et la Princesse se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la Princesse.
Le cocher répond : « Mon Roi, nous avons survécu, le carrosse et toutes les roues ont bien supporté la course, même la roue avant gauche. Les chevaux, aussi bien le cheval de droite que le cheval de gauche méritent bien un peu de repos après cet effort ! Et notre pauvre valet de pied n'aurait plus tenu longtemps ».
La Reine se réjouit et dit au Roi : « Le cocher a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher Supérieur ! ».
Le cocher a entendu ce que la Reine a dit au Roi et il est très heureux et très fier.
Finalement, tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine remercie le cocher, le Roi le remercie aussi. La Princesse et le Prince lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer. Le valet de pied, lui, est simplement soulagé que les roues n'aient pas lâché.
Même les chevaux sont heureux que le cocher ne les fouette plus.

Et comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront toujours ensemble, le Roi, la Reine, le Prince, la Princesse, le Valet de pied, le carrosse, les roues et les chevaux et bien sûr le cocher.

Le cocher a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du conduire le carrosse, ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher, mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des applaudissements .

Pour 13
C'est l'histoire d'un carrosse royal a 4 roues, tiré par 3 chevaux, qui était en voyage avec la Reine, le Roi, la Princesse, le Prince, un valet de pied et un cocher.
Il fait nuit, le carrosse roule dans la forêt. Sur le siège, le cocher guide les chevaux. Sur la plate forme arrière, le valet de pied patiente. Les roues du carrosse sont bien graissées et roulent sans bruit, sauf la roue avant gauche qui grince un peu.
Tout a coup, un grand cri raisonne dans la nuit : « Arrêtez ! ».
Le cocher tire sur les rênes et stoppe brusquement les chevaux. Le valet de pied manque même de tomber. Le Roi demande : « Cocher, cocher, cocher, que se passe t-il ? ».
Des hommes surgissent des fourrées brandissant des lames, des fourches et des bâtons. « Ce sont des bandits, mon Roi, s'écrie le cocher, ils attaquent le carrosse, la Reine, la Princesse et le Prince ne sont plus en sécurité ! ».
Alors sans attendre l'avis du Roi, le cocher se lève, brandit son fouet et fouette les chevaux. D'abord le cheval de gauche, puis le cheval du milieu et enfin le cheval de droite. Les chevaux se mettent au galop dans un grand hennissement.
Le carrosse prend de la vitesse et le cocher essaie tant bien que mal de se maintenir sur le siège. Le Roi crie : « Cocher, cocher, cocher!». Mais le cocher dans le vacarme du carrosse ne l'entend pas.
« Cocher, cocher, cocher », hurlent ensemble de Prince et la Princesse, mais le bruit des roues cachent leurs voix d'enfants.
Alors la Reine appelle : « Cocher, cocher, cocher!».
Sa voix si aiguë porte loin et le cocher répond : « Oui ma Reine ! ».
« Roule plus lentement, cocher, sinon le valet de pied va tomber, le carrosse va se renverser, et tu vas briser les roues gauches et les roues droites ! ».
Les chevaux, qui sont toujours au grand galop, fouettés par le cocher sont presque a bout de force. Le valet de pied ne reste plus accroché que par l'index.
La Reine qui devient de plus en plus hystérique crie au Roi : « Espérons que ce carrosse va supporter tout ça ! ». Le Roi lui répond : « la roue avant gauche me donne du souci plus que toutes les autres roues ! ».
Le Prince et la Princesse, eux, semblent s'amuser, surtout la Princesse.
Le cocher, tout en sueur à la suite de ses efforts, regarde autour de lui et s'aperçoit qu'ils ont réussi à semer les bandits.
Les chevaux du carrosse sont à présent au bord de l'épuisement. Ils s'arrêtent. Tout d'abord, le cheval de droite puis le cheval du milieu et enfin le cheval de gauche. Le valet de pied réussit enfin à se redresser.
Le Roi demande au cocher : « Cocher, cocher, cocher, pourquoi nous arrêtons-nous ? ».
Le Prince et la Princesse se posent la même question. Ils auraient aimé continuer, surtout la Princesse.
Le cocher répond : « Mon Roi, nous avons survécu, le carrosse et toutes les roues ont bien supporté la course, même la roue avant gauche. Les chevaux, aussi bien le cheval de droite que le cheval du milieu, que, bien sûr, cheval de gauche méritent bien un peu de repos après cet effort ! Et notre pauvre valet de pied n'aurait plus tenu longtemps ».
La Reine se réjouit et dit au Roi : « Le cocher a si bien fait son travail que nous le proclamons Cocher Supérieur ! ».
Le cocher a entendu ce que la Reine a dit au Roi et il est très heureux et très fier.
Finalement, tous, sont contents d'en avoir réchappé, sains et saufs. La Reine remercie le cocher, le Roi le remercie aussi. La Princesse et le Prince lui demandent s'ils pourront bientôt recommencer. Le valet de pied, lui, est simplement soulagé que les roues n'aient pas lâché.
Même les chevaux sont heureux que le cocher ne les fouette plus.

Et comme ils ne sont pas morts, dorénavant, ils se promèneront toujours ensemble, le Roi, la Reine, le Prince, la Princesse, le Valet de pied, le carrosse, les roues et les chevaux et bien sûr le cocher.

Le cocher a eu le rôle le plus astreignant dans ce jeu, non seulement il a du conduire le carrosse, ce qu'il sait bien faire car c'est le travail d'un cocher, mais il a dû également se lever 48 fois. Il mérite bien des applaudissements .

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